Les 3 raisons pour lesquelles j’ai hésité à devenir manager

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Imaginez : on vous propose une promotion. Vous allez enfin devenir manager ! C’est censé être l’aboutissement de votre carrière, non ? Mais au fond de vous, une petite voix vous dit : « Est-ce vraiment ce que je veux ? »

Depuis des décennies, dans de nombreux secteurs, gravir les échelons rime avec devenir chef d’équipe. Cette vision, profondément ancrée dans notre culture professionnelle, mérite pourtant d’être remise en question. Pourquoi ? Parce que le costume de manager ne sied pas à tout le monde.

Gérer une équipe, c’est un tout autre métier. Certain.es s’y épanouissent, d’autres s’y sentent comme un poisson hors de l’eau. Pourtant, beaucoup acceptent ce rôle, parfois à contrecœur, par peur de stagner ou sous la pression de leur entourage ou de l’idée d’une certaine réussite.

Dans cet article, on va explorer ensemble pourquoi cette voie ne devrait pas être l’unique option, les défis qu’on rencontre quand on devient manager, et je ne manquerais de partager avec vous mon propre parcours de transition vers un poste de management.

Il est grand temps de repenser nos parcours de carrière et de les adapter à ce que nous sommes vraiment.

Les raisons pour lesquelles devenir manager n’est pas toujours la meilleure option

Beaucoup se posent des questions quand l’opportunité de devenir manager se présente. Voici les principales raisons qui m’ont fait hésiter :

Un rôle qui requiert des compétences différentes

Imaginez un peu : un jour, vous êtes expert·e dans votre domaine, et le lendemain, on vous demande de jongler avec des compétences totalement différentes. C’est un peu comme si on demandait à un·e pâtissier·ère de devenir subitement chef·fe cuisinier·ère. Certes, c’est toujours de la cuisine, mais ce n’est pas du tout la même chose !

En tant que manager, on doit développer des compétences en communication, en résolution de conflits, en planification… Des domaines où on n’a pas forcément brillé jusqu’alors. Et franchement, ça peut faire peur !

Changement de focus : de technique à gestion d’équipe

Vous aimez votre métier ? Vous adorez plonger dans les détails techniques de vos projets ? Eh bien, préparez-vous à un changement radical. Devenir manager, c’est souvent dire adieu à une grande partie de ce travail technique qu’on aime tant.

Au lieu de coder, concevoir ou analyser, vous passerez vos journées à gérer des plannings, à animer des réunions, à évaluer les performances de votre équipe. C’est passionnant pour certain·e·s, mais pour d’autres, ça peut ressembler à un vrai crève-cœur.

Plus de responsabilités et plus de stress

Parlons un peu du stress, voulez-vous ? Être manager, c’est avoir les épaules solides. Vous devenez responsable non seulement de votre travail, mais aussi de celui de toute une équipe. Les objectifs à atteindre, les conflits à gérer, les décisions difficiles à prendre… Tout ça peut vite devenir une source de stress importante.

Et n’oublions pas les responsabilités qui vont avec. Si un projet dérape, c’est vous qui devrez en répondre. Si un·e membre de l’équipe ne performe pas, c’est à vous de trouver une solution. C’est stimulant, certes, mais ça peut aussi être sacrément pesant.

Alors, devenir manager, est-ce que c’est fait pour tout le monde ? Certainement pas ! C’est une décision qui mérite réflexion.

Pourquoi les accepter de devenir manager malgré des réticences?

Voici les raisons les plus courantes que j’ai pu observer de devenir manager alors qu’on hésite.

Pression sociale et professionnelle

Avouons-le, notre société a une fascination pour les titres et les positions. Dès qu’on annonce qu’on devient manager, les félicitations pleuvent. « Bravo ! », « Tu l’as bien mérité ! », « Quelle réussite ! ». C’est flatteur, non ?

Mais cette pression ne vient pas que de l’extérieur. Dans beaucoup d’entreprises, refuser une promotion est vu d’un mauvais œil. On peut vite passer pour une personne qui manque d’ambition ou qui n’a pas l’esprit d’équipe. Il est difficile de dire non dans ces conditions !

Perception que c’est la seule voie de progression

Parlons un peu carrière. Dans de nombreuses entreprises, le chemin est tout tracé, on passe d’expert.e, à manager, puis on devient cadre supérieur.e… C’est comme si on nous disait : « C’est ça ou rien ! ».

Cette idée est tellement ancrée que beaucoup pensent qu’il n’y a pas d’autres options pour évoluer. Augmentation de salaire, nouveaux défis, reconnaissance… tout semble passer par la case « management ». Pas étonnant qu’on se sente coincé·e·s, non ?

Peur de refuser une opportunité

Et si c’était LA chance de votre vie ? Et si vous la laissiez passer ? Ces questions, on se les pose tout.es quand une opportunité se présente.

La peur de rater quelque chose d’important est puissante. On se dit : « Si je refuse maintenant, peut-être qu’on ne me le proposera plus jamais ». Ou pire : « Et si quelqu’un d’autre prenait ma place et devenait mon·ma supérieur·e ? ». Ces craintes peuvent nous pousser à dire oui, même quand notre instinct nous crie de dire non.

Alors, vous voyez le tableau ? Entre la pression sociale, l’impression d’être dans une impasse professionnelle, et la peur de laisser filer une opportunité, on peut vite se sentir obligé·e d’accepter un poste de manager.

Mais vous savez quoi ? Il est crucial de prendre du recul et de bien réfléchir à ce qu’on veut vraiment. Après tout, c’est de votre carrière et de votre bonheur dont il s’agit !

Le manque de formation et de préparation

Insuffisance des formations proposées

Parlons un peu des fameuses formations au management. Vous savez, ces sessions censées nous transformer en super-managers en un claquement de doigts ? Eh bien, entre nous, c’est souvent loin d’être suffisant.

Dans beaucoup d’entreprises, on vous propose au mieux quelques jours de formation. On vous bombarde d’informations sur les théories du leadership, la gestion de projet, la communication… Et puis pouf ! Vous voilà censé·e être prêt·e à gérer une équipe. C’est un peu comme si on vous apprenait à nager en vous montrant des vidéos, puis qu’on vous poussait dans le grand bain. Pas très rassurant, n’est-ce pas ?

Le problème, c’est que ces formations sont souvent trop courtes et trop théoriques. Elles ne préparent pas vraiment aux défis du quotidien. Comment gérer un collaborateur difficile ? Ou motiver une équipe démotivée ? Ou encore jongler entre les attentes de la direction et les besoins de votre équipe ? Autant de questions qui restent souvent sans réponses concrètes.

Au-delà de la formation théorique : mentorat et coaching

Heureusement, tout n’est pas perdu ! Il existe des alternatives intéressantes à la formation théorique classique. Le mentorat et le coaching sont des approches qui gagnent en popularité et pour cause : elles offrent un accompagnement plus personnalisé et axé sur la pratique.

Le mentorat permet à un·e nouveau·elle manager de bénéficier de l’expérience d’un·e manager chevronné·e. C’est l’occasion d’apprendre par l’exemple, de discuter de situations concrètes et de recevoir des conseils adaptés à son contexte spécifique.

Le coaching, quant à lui, se concentre sur le développement personnel du manager. Il aide à identifier ses forces et ses points d’amélioration, à surmonter ses blocages et à développer son propre style de leadership.

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Ces approches ont l’avantage d’être plus flexibles et de s’adapter au rythme et aux besoins spécifiques de chaque individu. Elles permettent aussi un apprentissage continu, bien au-delà des premières semaines de prise de poste.

Écart entre les compétences techniques et managériales

Et là, on arrive au cœur du problème. Imaginez : hier encore, vous étiez un.e expert.e technique reconnu.e. Aujourd’hui, on vous demande d’être un.e leader inspirant.e, un.e coach motivant.e… C’est un sacré grand écart, non ?

Le hic, c’est que les compétences qui font de vous un.e excellent.e technicien.ne ne sont pas nécessairement celles qui feront de vous un.e bon.ne manager. Être au top dans son domaine ne garantit pas qu’on saura gérer une équipe, résoudre des conflits ou prendre des décisions stratégiques.

Et le pire, c’est qu’on n’a souvent pas le temps d’apprendre sur le tas. On est propulsé·e manager du jour au lendemain, avec toutes les responsabilités qui vont avec. C’est comme si on vous demandait de diriger un orchestre alors que vous venez à peine d’apprendre à jouer du violon !

Ce manque de préparation peut être vraiment stressant. On se retrouve à douter de ses capacités, à craindre de faire des erreurs qui impacteront toute l’équipe. Et franchement, ça peut vite devenir un cauchemar si on n’est pas bien accompagné.e.

La tentation est alors très grande de privilégier ce qu’on sait faire, ce qu’on maîtrise, son expertise par exemple. On y consacre le plus clair de son temps au détriment du management. On se laisse submerger pas les activités qu’on connaît et maîtrise déjà. Et de ce fait on ne se donne pas les moyens de développer ses compétences managériales par l’expérience.

A lire également : Comment gérer les conflits au sein d’une équipe?

Entre l’inné et l’acquis

Ce qui ne facilite pas les choses c’est cette idée largement répandue que le management serait une compétence innée. On entend souvent des phrases du genre : « Untel est né pour être manager » ou « Elle a ça dans le sang ». Comme si le leadership était un super-pouvoir qu’on avait ou qu’on n’avait pas.

Cette croyance est non seulement fausse, mais aussi dangereuse. Elle pousse les entreprises à compter uniquement sur le talent et le charisme naturel des personnes pour être de bons managers. On vous propulse à ce poste en se disant : « Bah, elle se débrouillera bien, elle est brillante après tout ! ».

Mais voilà, être un·e bon·ne manager, ça s’apprend ! Certes, certaines personnes ont peut-être des prédispositions, mais même les leaders les plus « naturels » ont besoin de formation, de pratique et de soutien pour développer leurs compétences.

Cette approche du « management inné » met une pression énorme sur les nouveaux·elles managers. On se sent obligé·e de tout savoir, de tout maîtriser dès le départ. Et si on galère ? Si on fait des erreurs ? On a l’impression d’avoir failli, de ne pas être à la hauteur.

C’est un peu comme si on vous disait : « Tu sais bien cuisiner ? Super, tu peux donc ouvrir un restaurant demain, sans formation en gestion, en hygiène ou en service client. Ça viendra naturellement ! ». Absurde, non ?

Le management est un vrai métier, avec des compétences spécifiques à acquérir et à perfectionner continuellement. Il est temps que les entreprises le reconnaissent et mettent en place de vrais parcours de formation et d’accompagnement pour leurs futur·e·s managers.

Mon expérience personnelle

Au départ j’étais réticente à l’idée de devenir manager

Quand on m’a proposé de devenir manager pour la première fois, j’ai ressenti un mélange de peur et de doute. Je ne voyais que les aspects négatifs du rôle :

  • La multitude de responsabilités à gérer
  • Les décisions difficiles à prendre, souvent incomprises
  • La compétition intense que cela semblait susciter

En tant que personne ayant une aversion pour les conflits, cette dernière partie me terrifiait particulièrement. Je craignais de ne pas être appréciée, de perdre la bonne relation que j’avais avec mes collègues.

De plus, je ne me sentais pas « naturellement douée » pour le management. J’avais cette fausse croyance que les bon·ne·s managers naissaient ainsi, avec un talent inné. Et comme je ne me reconnaissais pas dans cette description, je me disais : « Ce n’est clairement pas pour moi ».

Comment j’ai géré la transition ?

Ironiquement, c’est l’expérience qui m’a aidée à surmonter mes doutes. À deux reprises, je me suis retrouvée « manager de fait » – sans le titre officiel, mais avec toutes les responsabilités qui vont avec. Ces expériences m’ont permis de :

  1. Apprendre à répartir le travail efficacement
  2. Suivre la réalisation des tâches
  3. Encourager et motiver l’équipe
  4. Donner du sens aux actions à réaliser

Chacune de ces expériences a été une révélation : je découvrais que j’étais capable de le faire, et même que j’y trouvais une certaine satisfaction.

Un tournant majeur a été le remplacement au pied levé d’un chef de mission plus expérimenté. J’ai dû gérer plusieurs consultants à distance, certains avec des caractères difficiles. Malgré mon sentiment d’illégitimité et le stress lié aux objectifs à atteindre dans un délai serré, j’ai réussi. Cette expérience a été un véritable boost pour ma confiance.

Par ailleurs, en observant les lacunes de mes propres managers, j’ai réalisé une chose cruciale : il ne s’agissait pas d’être parfaite, mais d’être authentique et de faire de son mieux. J’ai constaté que même les managers les plus respectés faisaient des erreurs. Ceux qui gagnaient vraiment le respect de leur équipe étaient ceux qui restaient fidèles à eux-mêmes, admettaient leurs faiblesses et s’efforçaient constamment de s’améliorer.

Cette prise de conscience m’a libérée de la pression de la perfection et m’a permis de me concentrer sur l’essentiel : être honnête, à l’écoute et déterminée à donner le meilleur de moi-même pour mon équipe.

Alternatives et recommandations : repenser les parcours de carrière

Des chemins alternatifs à explorer
Il existe plusieurs façons d’évoluer professionnellement sans forcément devenir manager. Voici quelques options intéressantes :

Expert.e technique

Devenir la référence dans votre domaine, approfondir vos connaissances et les partager.

En tant qu’expert·e technique, vous pouvez :

  • Vous spécialiser dans un domaine précis de votre métier
  • Contribuer à des projets innovants et complexes
  • Participer à des conférences et publier des articles dans votre domaine
  • Être consulté·e pour des avis techniques cruciaux
  • Suivre et anticiper les évolutions technologiques de votre secteur

Cette voie est idéale si vous aimez plonger dans les détails techniques et rester à la pointe de votre domaine.

En choisissant cette voie, vous pourriez :

Mentor, formateur ou tuteur

Transmettre votre savoir-faire et aider les autres à progresser.

  • Concevoir et animer des formations internes ou externes
  • Accompagner individuellement des collègues moins expérimenté·e·s
  • Participer à l’intégration des nouveaux·elles employé·e·s
  • Créer du contenu pédagogique (guides, tutoriels, vidéos)
  • Intervenir dans des écoles ou des universités
  • Cette option est parfaite si vous aimez partager vos connaissances et voir les autres progresser grâce à vous.

Chef de projet

Piloter des projets stimulants sans nécessairement gérer une équipe au quotidien.

En tant que chef·fe de projet, vous serez amené·e à :

  • Définir les objectifs et la portée des projets
  • Planifier et coordonner les différentes phases du projet
  • Gérer les ressources et les budgets
  • Communiquer avec les différentes parties prenantes
  • Résoudre les problèmes et gérer les risques
  • Ce rôle convient si vous aimez avoir une vue d’ensemble, coordonner différentes expertises et mener des projets à bien.

Ces voies offrent des opportunités d’évolution et de reconnaissance, tout en permettant de rester proche de votre cœur de métier. Elles vous permettent de développer de nouvelles compétences, d’élargir votre influence dans l’entreprise et d’augmenter votre valeur sur le marché du travail, sans pour autant avoir à assumer les responsabilités spécifiques d’un·e manager.

Recommandations pour une évolution de carrière épanouissante

Pour les entreprises :

Diversifier les parcours de carrière en valorisant différents types d’expertise :

  • Créez des grilles de progression qui reconnaissent l’expertise technique au même titre que les compétences managériales.
  • Mettez en place des titres et des responsabilités spécifiques pour les expert.es techniques (par exemple, « Ingénieur.e principal.e » ou « Architecte senior »).
  • Instaurez des programmes de reconnaissance pour célébrer les réussites techniques et les innovations.

Offrir des opportunités d’évolution variées pour retenir les talents :

  • Proposez des parcours de carrière flexibles qui permettent aux employés de passer d’un rôle à l’autre (technique, gestion de projet, management) selon leurs aspirations.
  • Encouragez la mobilité interne entre différents départements ou projets.
  • Créez des opportunités de développement professionnel comme des rotations de postes ou des affectations temporaires sur des projets spéciaux.

Mettre en place de vrais programmes de formation et de soutien pour les nouveaux managers :

  • Développez un programme de formation complet couvrant les aspects essentiels du management (leadership, communication, gestion d’équipe, etc.).
  • Mettez en place un système de mentorat où les managers expérimenté·e·s accompagnent les nouveaux·elles.
  • Offrez un suivi régulier et des formations continues pour aider les managers à développer leurs compétences au fil du temps.

Pour les employé.es :

Prenez le temps de réfléchir à vos véritables aspirations professionnelles :

  • Faites un bilan de vos compétences, de vos valeurs et de ce qui vous motive réellement dans votre travail.
  • Imaginez-vous dans différents rôles à long terme. Lequel vous enthousiasme le plus ?
  • N’hésitez pas à discuter avec des personnes occupant différents postes pour mieux comprendre leur quotidien.

N’hésitez pas à explorer des voies alternatives au management :

  • Renseignez-vous sur les différents parcours de carrière disponibles dans votre entreprise ou votre secteur.
  • Proposez des projets ou des initiatives qui vous permettraient de développer vos compétences dans la direction souhaitée.
  • Participez à des formations ou obtenez des certifications dans les domaines qui vous intéressent.
  • Si vous choisissez la voie managériale, demandez de la formation et du soutien :
  • Exprimez clairement votre besoin de formation à votre hiérarchie.
  • Identifiez les compétences spécifiques que vous souhaitez développer et cherchez des opportunités de formation adaptées.
  • Trouvez un·e mentor ou un·e coach qui pourra vous guider dans votre transition vers un rôle de manager.

L’important est de choisir un chemin qui correspond à vos valeurs et à vos ambitions. Que vous optiez pour le management ou une autre voie, la formation et le soutien sont essentiels pour réussir votre transition et vous épanouir professionnellement.

Dessinez votre propre success story

Finalement, devenir manager n’est pas la seule voie d’évolution professionnelle. Des alternatives comme expert.e technique, mentor, ou chef de projet offrent des opportunités tout aussi enrichissantes.

Les entreprises ont un rôle à jouer en diversifiant les parcours de carrière et en valorisant différents types d’expertise. Cela permet non seulement de retenir les talents, mais aussi de créer un environnement de travail plus dynamique et innovant.

Pour les employés, il est primordial de prendre le temps de réfléchir à ses véritables aspirations avant de faire un choix de carrière. Que ce soit le management ou une autre voie, l’important est de choisir un chemin aligné avec ses valeurs et ses ambitions.

Quel que soit le parcours choisi, la formation et le soutien sont essentiels pour réussir sa transition et s’épanouir professionnellement.

En fin de compte, la diversité des parcours de carrière est une richesse tant pour les individus que pour les organisations. Elle permet à chacun·e de trouver sa place et de donner le meilleur de soi-même, contribuant ainsi à la performance globale de l’entreprise.

Et vous, qu’en pensez-vous ? Avez-vous déjà été confronté·e à ce type de choix de carrière ? Quelle voie vous attire le plus ? Partagez votre expérience ou vos réflexions dans les commentaires ci-dessous. Votre point de vue pourrait inspirer d’autres personnes qui se posent les mêmes questions! Vos insights sont précieux et pourraient aider d’autres personnes dans leur propre réflexion sur leur évolution de carrière. Alors, à vos claviers !

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