Dans le monde professionnel d’aujourd’hui, savoir « manager son manager » est devenu une compétence incontournable pour tou·te·s les leaders ambitieux·ses. Mais de quoi s’agit-il exactement ? Que l’on parle de « manager son manager » en français ou de « managing up » en anglais, il s’agit l’art de gérer efficacement la relation avec son·sa supérieur·e hiérarchique pour créer un environnement de travail productif et épanouissant.
« Managing up » ou « manager son manager », les deux expressions sont souvent utilisées de manière interchangeable, cependant « managing up » peut parfois avoir une connotation plus large, incluant la gestion des relations non seulement avec son manager direct, mais aussi avec d’autres supérieurs hiérarchiques dans l’organisation.
Dans un contexte où les structures organisationnelles sont de plus en plus complexes, maîtriser cette compétence peut faire la différence entre stagner et progresser dans sa carrière. C’est particulièrement vrai pour les femmes leaders, qui font souvent face à des défis uniques : stéréotypes de genre, manque de représentation aux postes de direction, ou encore difficulté à se faire entendre dans des environnements majoritairement masculins.
Pour ces femmes, et pour tous les professionnel·le·s aspirant à l’excellence, le « managing up » est bien plus qu’une simple tactique : c’est une stratégie essentielle pour naviguer dans le monde du travail, briser le plafond de verre et atteindre leurs objectifs de carrière. Que vous soyez une femme en quête d’ascension professionnelle ou un homme désireux de contribuer à un environnement de travail plus équitable, cet article vous donnera les clés pour exceller dans l’art de manager votre manager.
Comprendre et analyser la dynamique managériale
Identifier le style de management de votre supérieur·e
Avant de savoir comment manager son manager, il est essentiel de comprendre son style de management. Commencez par observer attentivement comment votre supérieur·e interagit avec vous et le reste de l’équipe. Est-il·elle plutôt directif·ve, donnant des instructions précises et attendant qu’elles soient suivies à la lettre ? Ou préfère-t-il·elle un style plus participatif, sollicitant les idées de chacun·e avant de prendre une décision ?
Peut-être avez-vous affaire à un·e manager de type « coach », qui cherche à développer les compétences de ses collaborateur·rice·s ? Ou encore à un·e leader visionnaire, toujours focalisé·e sur le long terme et les grands objectifs ?
N’hésitez pas à prêter attention aux petits détails. Ses réactions face aux imprévus ? Sa préférence pour les réunions formelles ou les discussions improvisées autour d’un café ? Ces observations vous donneront de précieux indices sur son style de management.
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Rappelez-vous, il n’y a pas de bon ou de mauvais style en soi. Chaque approche a ses forces et ses faiblesses. Votre objectif est simplement de comprendre comment fonctionne votre manager pour pouvoir adapter votre propre comportement en conséquence.
Et si vous avez du mal à cerner son style ? Pas de panique ! Vous pouvez toujours demander conseil à des collègues qui travaillent avec lui·elle depuis plus longtemps. Ou mieux encore, pourquoi ne pas aborder directement le sujet avec votre manager lors de votre prochain entretien ? Montrer votre intérêt pour son approche managériale sera perçu comme un signe de professionnalisme et d’engagement.
Enfin, n’oubliez pas que les styles de management peuvent évoluer avec le temps ou s’adapter selon les situations. Restez donc à l’écoute et prêt·e à ajuster votre perception si nécessaire. Après tout, la flexibilité est une qualité clé dans l’art de manager son manager !
Comprendre ses objectifs et ses priorités
Après avoir cerné le style de management de votre supérieur·e, l’étape suivante est de comprendre ses objectifs et priorités. Posez-vous la question : qu’est-ce qui motive vraiment votre manager ? L’innovation, la rentabilité, la satisfaction client, ou le bien-être des employé·e·s ?
Écoutez attentivement lors des réunions. Les points souvent répétés sont probablement ses priorités. Par exemple, s’il·elle insiste sur les délais, la ponctualité est importante pour lui·elle.
Observez sur quels projets votre manager passe le plus de temps ou quels sujets l’enthousiasment. Ces indices révèlent ce qui compte vraiment.
N’hésitez pas à demander directement : « Quels sont vos principaux objectifs cette année ? Comment puis-je y contribuer ? » Vous obtiendrez des informations précieuses tout en montrant votre engagement. Rappelez-vous que les priorités peuvent évoluer. Restez à l’écoute et prêt·e à vous adapter.
Alignez vos propres objectifs sur ceux de votre manager. C’est un excellent moyen de montrer que vous travaillez dans l’intérêt de l’équipe et de l’entreprise. En comprenant ses priorités, vous anticiperez mieux ses besoins, prendrez des initiatives pertinentes et brillerez dans votre rôle. Le succès de votre manager est aussi le vôtre !
Analyser ses préférences de communication
Comprendre les préférences de communication de votre manager est essentiel pour une collaboration efficace. Observez attentivement : préfère-t-il·elle les e-mails détaillés ou les messages concis ? Les appels téléphoniques ou les conversations en face à face ?
Notez également le timing. Certain·e·s managers apprécient des mises à jour quotidiennes, d’autres hebdomadaires. Adaptez-vous à leur rythme pour une communication plus fluide.
Le format est tout aussi important. Votre manager réagit plus aux présentations visuelles, apprécie les graphiques ? Ou bien plus littéraire avec une préférence pour les rapports écrits ? Peut-être aime-t-il·elle les discussions informelles ?
Considérez aussi le niveau de détail souhaité. Certain·e·s veulent tout savoir jusqu’au moindre détail, d’autres préfèrent une vue d’ensemble.
En cas de doute, n’hésitez pas à demander directement : « Comment préférez-vous que je vous tienne informé·e ? » Cela montrera votre volonté de vous adapter.
N’oubliez pas que la communication est à double sens. Exprimez aussi vos propres préférences pour une compréhension mutuelle.
Restez flexible, car les préférences peuvent évoluer. En vous adaptant, vous créerez une communication plus efficace et harmonieuse avec votre manager.
Cas particulier : et si mon manager est une femme?
Tout d’abord, évitez les stéréotypes. Chaque manager, homme ou femme, a son propre style, on en a parlé juste au dessus. Ne vous attendez pas à ce qu’elle soit forcément plus « maternelle » ou « émotive ».
Soyez attentif·ve aux défis spécifiques qu’elle pourrait rencontrer. Les femmes managers font parfois face à des préjugés ou à une pression supplémentaire. Votre soutien et votre professionnalisme peuvent faire la différence.
Communiquez ouvertement et respectueusement, comme vous le feriez avec n’importe quel·le supérieur·e. Concentrez-vous sur ses compétences et ses décisions, pas sur son genre.
Si vous êtes un homme, soyez conscient de vos propres biais potentiels. Remettez en question vos réactions si vous vous sentez mal à l’aise avec une femme en position d’autorité.
Pour les femmes, ne tombez pas dans le piège de la comparaison ou de la compétition. Votre manager peut être une excellente alliée et mentor dans votre progression de carrière.
Enfin, célébrez cette diversité ! Avoir des femmes à des postes de direction enrichit les perspectives et peut inspirer d’autres femmes à viser haut.
En fin de compte, une bonne relation professionnelle se construit sur le respect mutuel, la communication et la reconnaissance des compétences, quel que soit le genre de votre manager.
5 stratégies pour manager son manager efficacement
Communiquer clairement et régulièrement
Imaginez que votre relation avec votre manager est comme une plante. Pour qu’elle s’épanouisse, il faut l’arroser régulièrement avec une bonne dose de communication claire !
Commencez par établir un rythme de communication qui convient à vous deux. Certains managers préfèrent des mises à jour quotidiennes rapides, d’autres des points hebdomadaires plus détaillés. Adaptez-vous à leur style, mais n’hésitez pas à exprimer vos propres besoins.
Soyez concis·e et précis·e. Votre manager jongle probablement avec mille choses à la fois. Allez droit au but, en mettant en avant les informations essentielles. Pensez à la règle des 3C : Clair, Concis, Concret.
N’attendez pas que les problèmes s’aggravent pour en parler. Si vous rencontrez un obstacle, mentionnez-le rapidement, idéalement avec des solutions potentielles. Cela montre votre proactivité et votre capacité à résoudre des problèmes.
Écoutez activement aussi. La communication est à double sens. Soyez attentif·ve aux feedbacks et aux directives de votre manager.
N’oubliez pas de partager vos succès ! Ce n’est pas se vanter, c’est tenir votre manager informé·e de vos progrès.
Enfin, choisissez le bon canal de communication. E-mail, chat, appel vidéo ou en personne, utilisez le moyen le plus approprié selon l’urgence et l’importance du sujet.
En communiquant clairement et régulièrement, vous construisez une relation de confiance avec votre manager, facilitant ainsi votre travail et votre progression professionnelle.
Anticiper les besoins et proposer des solutions
Commencez par bien comprendre les objectifs de votre équipe et de votre manager. Quels sont les projets prioritaires ? Quelles sont les échéances importantes ? Une fois que vous avez cette vision d’ensemble, vous pouvez commencer à anticiper les obstacles potentiels.
Soyez proactif·ve ! Si vous voyez un problème se profiler à l’horizon, ne restez pas les bras croisés. Réfléchissez à des solutions possibles. Mieux encore, venez avec plusieurs options. Votre manager appréciera d’avoir le choix.
Enfin, n’oubliez pas de vous mettre à la place de votre manager. Que voudriez-vous savoir si vous étiez à sa place ? Quelles informations vous seraient utiles pour prendre des décisions éclairées ?
En anticipant les besoins et en proposant des solutions, vous vous positionnez comme un·e collaborateur·rice précieux·se et digne de confiance. C’est ça, le vrai « managing up » !
Gérer les attentes et les désaccords de manière constructive
Lorsqu’un désaccord survient (et ça arrivera, c’est normal !), prenez une grande inspiration. Rappelez-vous que vous êtes dans la même équipe. Abordez la situation avec calme et ouverture d’esprit.
Écoutez activement le point de vue de votre manager. Essayez de comprendre ses motivations. Peut-être a-t-il·elle des informations que vous n’avez pas ?
Exprimez votre opinion de manière respectueuse et factuelle. Utilisez des exemples concrets pour illustrer votre point de vue. Évitez les accusations ou les généralisations.
Cherchez ensemble des solutions. Proposez des compromis. Parfois, la meilleure solution est un mélange de vos deux idées.
N’oubliez pas de suivre les décisions prises. Même si vous n’êtes pas d’accord à 100%, montrez que vous êtes un·e coéquipier·ère fiable.
En gérant constructivement les attentes et les désaccords, vous renforcez la confiance mutuelle et créez un environnement de travail plus positif. C’est ça, l’art du « managing up » !
S’affirmer sans être perçue comme « agressif.ve »
L’assertivité, ce n’est pas être agressive·if ou dominant.e. C’est exprimer vos idées et besoins avec confiance, tout en respectant ceux des autres. Pensez à utiliser le « je » plutôt que le « vous » accusateur. Par exemple, dites « Je pense que cette approche pourrait être plus efficace » plutôt que « Votre idée ne fonctionnera pas ».
Soyez ferme sur le fond, mais doux·ce sur la forme. Votre ton et votre langage corporel sont aussi importants que vos mots. Un sourire et une voix posée peuvent faire passer un message fort sans paraître menaçant·e.
N’oubliez pas d’écouter activement les autres. L’assertivité n’exclut pas l’empathie. Montrez que vous valorisez les opinions de vos collègues et de votre manager.
Si vous vous sentez étiqueté·e comme « agressif·ve », demandez un feedback spécifique. Peut-être y a-t-il des comportements particuliers que vous pouvez ajuster ?
Enfin, célébrez la diversité des styles de communication. Certain·e·s sont naturellement plus direct·e·s, d’autres plus diplomates. L’important est de trouver votre voix authentique tout en restant ouvert·e à la collaboration.
En maîtrisant l’art de l’assertivité bienveillante, vous pouvez vous affirmer tout en cultivant des relations positives. C’est la clé d’un « managing up » efficace et d’une carrière épanouissante.
Savoir quand et comment escalader les problèmes
Quand escalader ? Lorsque le problème dépasse votre champ d’action, menace les objectifs de l’équipe, ou pourrait avoir des répercussions importantes. Mais attention, n’appuyez pas sur le bouton panique à la moindre difficulté !
Avant d’escalader, essayez de résoudre le problème vous-même. Votre manager appréciera vos efforts proactifs. Si ça ne marche pas, préparez votre cas comme un·e avocat·e. Rassemblez les faits, identifiez l’impact potentiel et, surtout, proposez des solutions. Votre manager sera plus réceptif·ve si vous venez avec des idées plutôt que juste des problèmes.
Choisissez le bon moment et le bon canal. Un e-mail paniqué à minuit n’est généralement pas la meilleure approche. Préférez une conversation en personne ou un appel planifié.
Soyez clair·e, concis·e et factuel·le. Évitez le drame ou les accusations. Présentez la situation objectivement : « Voici ce qui se passe, voici l’impact potentiel, et voici ce que je suggère. »
Enfin, suivez le problème. Tenez votre manager informé·e des développements et soyez prêt·e à agir selon ses instructions.
En maîtrisant l’art de l’escalade, vous vous positionnez comme un·e collaborateur·rice fiable et mature, capable de gérer les défis avec professionnalisme. C’est ça, le « managing up » efficace !
Manager son manager pour développer son influence et sa carrière
Cultiver la confiance : fiabilité et proactivité
Tenez vos promesses! Si vous dites que vous ferez quelque chose, faites-le. Si vous ne pouvez pas tenir un engagement, communiquez-le rapidement et proposez une alternative. La fiabilité est le terreau fertile de la confiance.
Soyez ponctuel·le, que ce soit pour les réunions ou les deadlines. Rien ne sape plus la confiance qu’un·e retardataire chronique.
Anticipez les besoins de votre manager et de votre équipe. C’est comme arroser les plantes avant qu’elles ne se fanent. Voyez-vous un problème potentiel ? Proposez une solution avant même qu’on vous le demande.
Prenez des initiatives, mais assurez-vous qu’elles s’alignent avec les objectifs de l’équipe. C’est comme planter de nouvelles graines dans votre jardin – choisissez-les avec soin.
Admettez vos erreurs rapidement et apprenez-en. C’est comme tailler les mauvaises herbes – nécessaire pour une croissance saine.
Célébrez les succès de vos collègues. Un jardin prospère quand toutes les plantes s’épanouissent ensemble.
En cultivant ainsi la confiance, vous créez un environnement où votre influence peut grandir naturellement. C’est la base d’une carrière florissante et épanouissante !
Maîtriser l’art du feedback : demander et recevoir
Imaginez le feedback comme un miroir qui vous aide à grandir professionnellement. Pour en tirer le meilleur parti, il faut savoir le demander et l’accueillir avec simplicité.
N’attendez pas l’évaluation annuelle ! Sollicitez régulièrement des retours de votre manager et de vos collègues. Soyez spécifique : « Comment puis-je améliorer mes présentations ? » est plus utile que « Comment je me débrouille ? ».
Quand vous recevez du feedback, respirez profondément. Il est naturel de se sentir sur la défensive, mais résistez à cette envie. Écoutez attentivement, sans interrompre. C’est votre chance d’apprendre et de progresser !
Posez des questions pour clarifier. « Pouvez-vous me donner un exemple spécifique ? » ou « Que suggéreriez-vous pour m’améliorer ? » montrent que vous prenez le feedback au sérieux.
Remerciez toujours la personne pour son feedback, même si vous n’êtes pas d’accord sur le moment. La réflexion peut prendre du temps.
Après avoir reçu du feedback, réfléchissez-y calmement. Que pouvez-vous en tirer ? Élaborez un plan d’action pour vous améliorer.
N’oubliez pas : le feedback n’est pas une critique personnelle, c’est un outil de croissance. En maîtrisant l’art de demander et de recevoir du feedback, vous ouvrez la porte à un développement professionnel continu et à une influence accrue dans votre carrière.
Créer des alliances et développer son réseau stratégique
L’idée ici est de tisser une toile professionnelle solide et brillante ! Commencez par cartographier votre environnement professionnel. Qui sont les personnes clés ? Quels sont les départements influents ? C’est comme repérer les meilleurs endroits pour accrocher votre toile.
Cultivez des relations authentiques. Ne voyez pas les gens comme des « contacts utiles », mais comme des partenaires potentiels. Partagez vos connaissances, offrez votre aide. C’est donnant-donnant !
Sortez de votre zone de confort. Participez à des événements, rejoignez des groupes professionnels. C’est comme lancer de nouveaux fils dans des directions inexplorées.
N’oubliez pas le pouvoir du mentorat. Cherchez un·e mentor qui a parcouru le chemin que vous visez. Leur expérience est une boussole précieuse. Et pourquoi ne pas devenir vous-même mentor ? Ça renforcera votre influence. Un·e mentor peut également vous ouvrir des portes, vous recommander pour des opportunités clés. Cultivez ces relations avec soin.
Restez en contact régulier avec votre réseau. Un petit message, un café occasionnel… C’est comme entretenir votre toile. En tissant patiemment ces liens, vous créez un écosystème professionnel riche et dynamique. C’est le terreau idéal pour faire fleurir votre carrière et votre influence.
Gérer le syndrome de l’imposteur
Vous connaissez cette petite voix qui chuchote « Tu n’es pas à ta place » ou « Tu vas te faire démasquer » ? C’est le fameux syndrome de l’imposteur, ce monstre qui rôde dans les couloirs de notre esprit. Mais pas de panique, on va apprendre à l’apprivoiser !
Première chose à savoir : vous n’êtes pas seul·e. Même les plus grand·e·s professionnel·le·s ont parfois ce sentiment. C’est comme un club secret dont personne ne parle, mais dont presque tout le monde fait partie.
Commencez par reconnaître ces pensées. « Tiens, voilà mon syndrome de l’imposteur qui pointe son nez. » Nommer le monstre, c’est déjà lui retirer un peu de son pouvoir.
Ensuite, collectez les preuves. Notez vos réussites, gardez les compliments reçus. C’est votre arsenal contre les doutes. La prochaine fois que le monstre surgit, sortez votre liste et dites-lui : « Regarde, j’ai mérité ma place ! »
Arrêtez de viser la perfection. Personne n’est parfait·e, et c’est OK. Autorisez-vous à faire des erreurs, à apprendre, à grandir.
Parlez-en ! Discuter de ce sentiment avec des collègues de confiance peut être libérateur. Vous découvrirez probablement qu’ils·elles ressentent la même chose.
Enfin, transformez ce syndrome en moteur. Utilisez-le pour continuer à apprendre, à vous améliorer. C’est comme transformer le monstre en allié. En domptant ce syndrome, vous libérez votre potentiel et renforcez votre confiance. Et ça, c’est le meilleur boost pour votre carrière et votre influence !
Le « managing up » : un tremplin pour tous
Imaginez le « managing up » comme un super-pouvoir professionnel. Bien utilisé, il ne booste pas seulement votre carrière, mais élève aussi votre équipe et toute l’organisation. C’est comme créer une vague de positivité qui soulève tous les bateaux !
Pour vous, c’est l’occasion de briller. En comprenant et en anticipant les besoins de votre manager, vous devenez un·e collaborateur·rice précieux·se. Vous gagnez en visibilité, en confiance, et ouvrez la porte à de nouvelles opportunités. C’est comme gravir les échelons avec style !
Pour votre équipe, votre art du « managing up » est un bouclier protecteur. Vous devenez le pont entre eux et la direction, traduisant les besoins dans les deux sens. Vous pouvez défendre leurs idées, obtenir les ressources nécessaires, et créer un environnement où chacun·e peut s’épanouir.
Pour l’organisation, c’est comme huiler les rouages d’une machine complexe. Vous facilitez la communication, réduisez les frictions, et alignez les objectifs à tous les niveaux. Résultat ? Une entreprise plus agile, plus innovante, et plus performante.
N’oubliez pas de partager vos techniques avec vos collègues. En les aidant à développer leurs compétences en « managing up », vous créez une culture d’excellence et de collaboration.
En maximisant ainsi les bénéfices du « managing up », vous ne construisez pas seulement votre propre succès, mais vous devenez un véritable catalyseur de réussite collective. Et ça, c’est la marque d’un·e vrai·e leader !
En fin de compte, savoir manager son manager est bien plus qu’une simple compétence professionnelle. C’est un véritable levier pour propulser votre carrière. En maîtrisant l’art de communiquer efficacement, de créer des alliances stratégiques et de gérer les attentes, vous vous positionnez comme un·e leader incontournable.
N’attendez pas pour mettre ces techniques en pratique ! Chaque interaction est une opportunité de peaufiner votre approche. Et n’oubliez pas : nous sommes plus fort·e·s ensemble. Tendez la main à vos collègues, partagez vos expériences, et soutenez-vous mutuellement.
Que vous soyez une femme en quête de leadership ou un homme allié, ces compétences sont essentielles pour créer un environnement de travail plus équitable et performant.
C’est à vous maintenant, partagez vos stratégies pour manager votre manager dans les commentaires!